Nous avons eu à peu près la même année, 1976, le bonheur d’avoir, enfin, une ravissante petite fille tout à fait terminée (en ce qui me concerne) et notre première résidence secondaire à l’état de ruine mais avec un grand potentiel.
Ou encore ces photos-ci qui nous paraissent ahurissantes aujourd’hui :
Vous souvenez-vous du blog intitulé “ma maison des champs” ?
Ou encore de celui de l’ouverture de Tricon ?
Tout a bien changé et a changé en bien!!!
Mais il y a toujours mieux à faire et nous nous sommes attaqués à l’isolation du plafond depuis l’an dernier. Sûrement pas pour obéir à des règles de plus en plus folles dictées par des technocrates politiciens mais tout simplement pour “avoir moins chaud l’été et plus chaud l’hiver” dans cette maison sensible à tout vent et à tout soleil cuisant et ardent
Du travail d’équilibristes de haut vol qui va nous assurer des étés frais et des automnes et printemps agréables au coin du feu sans déperdition de “bien-être”.
D’autre part,
Comme nous avions eu la grande surprise de voir de l’eau partout autour du robinet d’arrêt, il a fallu sonder et réparer. Pendant ce temps Mélodie a tiré l’eau du puits comme au bon vieux temps des bougies, des lampes à pétrole et des douches sur le gazon avec le tuyau……

Il me revenait d’assurer l’intendance et le bien-être des pauses.
Le foie gras, les feuilles de vigne gersoises farcies, les clafoutis aux cerises de Bordeaux, la galette charentaise, le vin de noyer de 88, le petit Médoc des familles ont su entourer de leur délicatesse les grillades de bœuf, de porc ou de mouton.


Tout cela en cinq jours de beau temps, entourés de fleurs, de fines herbes, de nos animaux fidèles et gardiens de la maison.

A bientôt! Marie-Françoise
C'est sympa ce reportage. On a l'impression d'y etre. Vu de Paris, c'est rafraichissant.
RépondreSupprimerTu es gentil. En fait, c'est le but recherché : tenter de donner à mes amis un instant de fraîcheur et de poésie ; en tout cas de partager ces instants de bonheur mêlés d'un brin de nostalgie
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