Hameau le plus proche du Tricon. Il y a eu une école, une poste, un boulanger, un presbytère, un ferronnier, un menuisier…….
Il reste la Mairie, l’Eglise, le vieux château et de jolies ruelles bordées de roses trémières ou d’autres arbustes pour égayer les maisons des cultivateurs ou des touristes étrangers, la plupart.retapées avec goût.
Il a fait plutôt beau
mais bien froid et ce paysage d’hiver nous a rappelé l’époque de l’achat de cette ruine…..
Voyez l’état de notre premier achat. Il fallait une bonne dose de courage et un beau brin de folie, non ?
Et voici notre maison trente huit ans plus tard !!!
>Je vous rappelle que pour agrandir chaque photo, vous cliquez une fois dessus. Ensuite pour revenir au blog original, vous cliquez sur la “croix rouge” tout en haut du cadre. La photo agrandie disparaitra et vous serez à nouveau captivés par mon récit!!!
(c’est aussi une manière pour moi de voir si vous tenez compte des remarques ou si je peux m’en dispenser à l’avenir…..Ahahahahah !
Nous avons fait pas mal de rencontres fortuites car la nature a repris ses droits maintenant que les humains ont déserté leur jardin ou terrasse et que les cultivateurs ont terminé les labours.
!!!!!!!!!………
Tout d’abord, au détour de la route trois jeunes chevreuils nous ont salués
“Nous cherchons des champignons” nous ont-ils dit
Au pied du prunier mort, un écureuil grignotait un reste de noix
Ce tronc sert de refuge à toutes sortes de bestioles , spécialement à
ARTHUR, mon copain-lézard.
Vous vous souvenez peut-être de notre “prunier-porte-coiffe” ?
Il restait quelques tomates jaunes, les dernières roses, le thym et le romarin.
Il était grand temps de récolter et d’emporter le tout, jaunes et vertes, pour notre maison d’hiver.
Plumes de geais, de pies, de pigeons, de buses……..
Et le” fer à bœuf “qui nous porte bonheur depuis, depuis…..
C’est mieux, en tout cas, que les fers à chevaux qui ne portent plus du tout bonheur par les temps qui courent, d’abord avec les raviolis puis avec les manifs sur les Champs et ailleurs !
Ce n’est pas une ruche mais une fleur de tournesol dépouillée.
Avec ce grand froid, vous vous doutez bien que nous avons allumé les cheminées aussitôt arrivés. N’ayez crainte, nous avons bien tout éteint avec de l’eau du chaudron en partant.
Cet instrument méridional se nomme le “boufadou”. C’est l’équivalent du soufflet en cuir que nous connaissons mais bien plus efficace.
Vous pouvez admirer des objets quotidiens d’autrefois : le panier en bois pour les vendanges, le balai en paille, les pinces, la pelle et les chenets, la jolie taque qui renvoie la chaleur, les différents grills, la poêle à marrons et le chaudron ……
Dans ce chapitre, nous n’avons pas parlé “cuisine” et cela me manque! Voici quelques photos ayant un rapport avec cet Art.
Horloge en bois silicifié, très, très vieux.(Mada)
Pot en bâtons de cannelle malgache Orchidée, bambou et feuillage de Tricon.
Les recettes seront pour le prochain blog.
C’était la fermeture du Tricon.
MARIE – FRANCOISE
Mea culpa ! la fleur de tournesol fanée était bien un nid de "guêpes". Je ferai amende honorable dans un petit chapitre explicatif.......que vous trouverez à la suite de ce chapitre-ci.
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