Cette fois ci, je me propose de vous emmener faire une marche de seize kilomètres en forêt “très humide” dans le Périgord blanc.
Puis, nous continuerons le périple, en voiture, du côté du village médiéval de Limeuil, dans le Périgord noir.
JEUDI 31 JANVIER 2013
M A R C H E EN FORET DE LA D O U B L E
Nous étions une vingtaine de marcheurs pour arpenter les multiples chemins forestiers qui longent les étangs nombreux à cet endroit.
Ce coin du Périgord est assez fréquenté en été mais nous n’avons pas été gênés par l’affluence de touristes……Pas un seul animal ni même le moindre oiseau !!!!!
Quel temps pourri !
Pour avoir une petite idée de ce que nous aurions dû voir, voici des tableaux explicatifs :
Mais, même si un sanglier était apparu au détour d’un chemin, nous ne l’aurions pas vu, occupés que nous étions à éviter les marécages,
ou à faire relacer nos chaussures……..
Aussi majestueux qu’un baobab, n’est-il pas ???
Nous sommes arrivés aux abords d’une ferme, lieu béni d’une halte-pique-nique
(un clic sur chaque photo pour agrandir)
(la souris sur les photos pour les titres)
Les très gentils organisateurs de cette marche avaient apporté de quoi nous réchauffer le corps et l’esprit,
Sangria bien tassée et délicieuse,
Petit massage des pieds glacés,
Mini conférence intéressante sur la région et la ferme,
suivie très attentivement par le groupe………..
Et malgré les paupières et les jambes bien lourdes, il nous a fallu reprendre les chemins creux noyés sous les pluies de ce mois de janvier.
Avec nos amis Roselyne et Michel, nous avions décidé de dormir dans des chambres d’hôtes, à La Rolandrie, près du joli village médiéval de Limeuil.
En cette période, il n’y avait aucun restaurant ouvert à Limeuil et nous avons atterri avec grand bonheur dans un restaurant situé sur la place de Trémolat, à côté de l’église,
Je recommande le “Parmentier de veau”.
La nuit fut réparatrice et le petit déjeuner très copieux. Nous avons été contents de retrouver nos neveux Stéphane et Laurence et de pouvoir les féliciter pour leur bonne idée d’ouvrir des chambres d’hôtes dans un lieu calme et reposant.
Comme je ne suis pas du genre masochiste, je referai cette balade au printemps ou à l’automne prochain. Cela me peine trop de passer cinq heures à regarder mes godillots et à marcher à la queue leu leu en évitant le plus de flaques possible et en guettant le moindre chant d’oiseau………………Mais je peux dire : ‘Je peux “encore” le faire”!!!!!
Suivez-moi dans le second chapitre de cette aventure périgourdine……
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